





















Le monde ou rien a été réalisé durant la période de confinement avec des images créées auparavant. Après avoir photographié des scènes de vie extérieures, un travail de composition a été élaboré en ajoutant des aplats de couleurs et des surimpressions. Grâce à ces compositions, plusieurs dimensions se mettent alors à dialoguer. Les images sont assemblées presque de manière rythmique par une alternance, un balancement, venant créer un équilibre entre le réel et le perceptif. Certaines d’entre elles comportent un trou dans l’image, afin de représenter ce qui nous échappe, ce qu’on ne peut nommer, voir ou contrôler. Ces trous, réalisés numériquement, sont véritablement créés lors des tirages.